La date du Samedi 03 Juin 2023 restera à jamais gravée dans les mémoires des 200 élèves du collège Sainte-Marie ayant participé à la cérémonie du ravivage de la Flamme sous l’Arc de Triomphe !
Après plusieurs semaines de répétitions et une très courte nuit (départ à 5h00 du matin de la gare routière de Fougères), les 120 musiciens et 80 choristes, accompagnés de 40 professeurs et parents, se sont dirigés vers la capitale.
En arrivant à Paris, une fois les instruments déposés à la mairie du 8è arrondissement, nous avons pu visiter quelques avenues et monuments sous un grand soleil : l’Eglise Saint-Augustin, les Galeries Lafayette et sa grande terrasse offrant une vue splendide sur la ville et la Tour Eiffel, l’Opéra Garnier, Le Jardin des Tuileries, la Place de la Concorde, … les élèves étaient plus que ravis de ces visites et ont pu profiter au maximum avec leurs camarades.
A 14h30 il était temps de retourner à la mairie du 8è arrondissement car un concert était prévu par les 4è, les 3è et les « grands » de l’orchestre (pendant que les choristes et les 5è musiciens poursuivaient les visites).
A 17h00, après un très beau moment musical où chacun a donné le meilleur de lui-même, malgré la fatigue qui commençait à se faire ressentir, il était temps de nous diriger vers l’Arc de Triomphe.
A 18h30, tous les musiciens étaient à leur place, les choristes installés sous l’Arc lui-même, juste devant la tombe du soldat inconnu et la flamme. Le stress était à son comble et les jambes vacillaient : entre les balades, la chaleur, la fatigue et la pression, nos jeunes musiciens et choristes étaient fébriles.
L’orchestre a interprété 6 morceaux, dont deux chantés par les 80 choristes : « La Marseillaise » et le « Chant des Partisans ». Les prestations ont été grandement applaudies et les jeunes ont été félicités à plusieurs reprises par les généraux et représentants des diverses associations militaires.
Un moment magnifique, mémorable et unique pour tous ces jeunes (et leurs accompagnateurs !) !
A 21h00 il était temps de repartir vers Fougères, les yeux encore remplis d’étoiles et d’images à tout jamais gravées.